
Polífilo y Polia… perhaps
Ferdinand Keller, Tumba de Böcklin, 1901-1902
El agua de los viejos canales es débil y mental,
triste, en medio de las antiguas ciudades…
Agua tan doliente que parece muerta.
¿Por qué tan desnuda y tan nada? ¿Y qué hace
en su somnolencia, en sus sueños sombríos,
para no ser más que un traidor espejo del rocío,
en el que, incluso, a la luna le cuesta vivir?
Georges Rodenbach
Je suis aveugle on me plaint
Et moi je plains tout le monde
Mes deux yeux ne sont plus pleins
Car ils ont perdu leur bombe
Dans un malheur comme le mien
Tu t'en, tu t'en, tu t'en moques
La chandelle ne vaut rien
Je me lve ds le matin
Je m'en vais d'village en village
L'un me donne un bout de pain
L'autre un morceau de fromage
Et quelques fois par hasard
Tu t'en, tu t'en, tu t'en moques
Un petit morceau de lard
Je me moque du mercier
Et de toutes ses cassettes
Je n'use point de papier
Encore moins de lunettes
J'ai pour peigne mes dix doigts
Tu t'en, tu t'en, tu t'en moques
Mes deux manches pour mouchoir
J'ai mon chien et mon bton
Mes deux compagnons fidles
L'un me mne tton
L'autre au bout d'une ficelle
N'aimeriez-vous pas bien mieux
Tu t'en, tu t'en, tu t'en moques
Ces deux guides que deux yeux
Si jamais me venait un fils
Dans cette agrable vie
Je prierais bien le Bon Dieu
Aussi la Vierge Marie
Qu'ils lui crvent les deux yeux
Tu t'en, tu t'en, tu t'en moques
Pour en faire un vieux luneux
Yo soy el Imperio al fin de la decadencia
[…]
¡Nada poder, tan débil en mis lentos deseos!
¡Nada querer, que haga florecer esta existencia!
¡Oh, no querer ni poder aventurar la muerte!
¡Ay, todo lo bebimos! […]
¡Sólo un poema bobo que se echa al fuego,
un esclavo libertino que me desdeña,
sólo un hastío sin causa, que me atormenta
Paul Verlaine
Tres fotografías de la casa del oscuro narrador gráfico Edward Gorey (1925-2000), cuya obra mostró que un libro podía valer también, o sólo por, el trabajo de su ilustrador.
Leyendo en la red me enteré que Mark Romanek, el celebérrimo director de videos, se inspiró en Gorey para crear la atmósfera adecuada para “The Perfect Drug” de los NIN: